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guide pour la catégorie spécifique drone

Sortie de la dernière version du guide pour l’utilisation des drones en catégorie spécifique.

Par Actualité, Actualité du Drone, Blog, Formation drone, Législation drone Aucun commentaire

L’utilisation des drones, ou aéronefs sans équipage (UAS), dans un cadre professionnel ou privé, est soumise à une réglementation stricte. Ce guide se concentre sur les opérations en catégorie spécifique, une des trois catégories définies par la réglementation européenne. La sortie du nouveau guide est l’occasion de faire le point sur ce qu’il faut en retenir. Voici les principes, les obligations et les démarches pour exploiter un drone en toute sécurité, précisés par ce guide.

Pourquoi une réglementation spécifique pour les drones ?

L’utilisation des drones peut représenter un risque pour la sécurité aérienne, la vie privée et l’ordre public. Pour y répondre, la réglementation européenne a introduit trois catégories principales :

  • Catégorie ouverte : Destinée aux opérations à faible risque, comme les loisirs ou les travaux simples en vue directe.
  • Catégorie spécifique : Concerne les opérations à risque modéré, exigeant des autorisations ou des déclarations préalables. C’est dans ce cadre que ce déroule nos formations pour devenir pilote de Drone.
  • Catégorie certifiée : Réservée aux activités à haut risque, telles que le transport de passagers ou de marchandises dangereuses.

La catégorie spécifique, cœur de cet article, répond aux besoins d’opérations professionnelles exigeantes, comme les vols hors vue ou en zone peuplée.

guide  pour la catégorie spécifique droneLes bases de la réglementation européenne : les textes de bases de 2019 vers une uniformisation en 2026.

1. Les textes clés

Deux règlements européens structurent les opérations des drones :

  • Règlement (UE) 2019/945 : Définit les exigences techniques pour les drones et les exploitants de pays tiers.
  • Règlement (UE) 2019/947 : Encadre les procédures d’exploitation et les règles applicables aux drones.

Ces textes harmonisent les règles au sein de l’Union européenne, tout en laissant une certaine flexibilité aux États membres pour des adaptations locales.

2. Transition vers les normes européennes

En France, les anciens scénarios nationaux (S1, S2, S3) restent utilisables jusqu’au 1er janvier 2026. Au-delà, seules les normes européennes, comme les scénarios standard STS-01 et STS-02, seront valides. Cette transition garantit une adaptation progressive des exploitants.

Obligations des exploitants et télépilotes

1. Enregistrement et immatriculation

Les drones dépassant 800 grammes doivent être enregistrés sur la plateforme AlphaTango. Ce processus garantit une traçabilité et facilite la gestion des incidents. Les drones de plus de 25 kg nécessitent une immatriculation spécifique, renforçant leur suivi réglementaire.

2. Formation des télépilotes

Les compétences des télépilotes sont cruciales pour assurer la sécurité. Les exigences incluent :

  • Formation théorique : Couvrant des sujets comme la réglementation aérienne, la météorologie et la gestion des risques et la préparation des missions, c’est ce que vous aurez dans notre formation drone de base avant les formations métiers.
  • Formation pratique : Validée par des vols supervisés et une évaluation finale.

Un certificat attestant ces compétences est indispensable pour opérer en catégorie spécifique.

3. Déclaration d’activité

Avant toute opération, une déclaration d’activité doit être soumise via AlphaTango. Ce document précise le type d’opérations prévues, les zones concernées et les mesures de sécurité mises en place.

Les scénarios standard : une solution simplifiée

Les scénarios standard, nationaux ou européens, permettent aux exploitants de bénéficier de règles prédéfinies pour des opérations spécifiques. Voici un aperçu des principaux scénarios :

Scénarios nationaux

Les scénarios S1, S2 et S3 restent valides jusqu’en 2026 :

  • S1 : Vols en zone non peuplée, à une distance maximale de 200 mètres en vue directe.
  • S2 : Vols hors vue dans des zones faiblement peuplées, jusqu’à 1 km du télépilote.
  • S3 : Vols en zone peuplée, en vue directe, à une hauteur maximale de 120 mètres.

Scénarios européens

Depuis 2024, deux scénarios standard européens ont été introduits :

  • STS-01 : Vols en vue directe avec un drone de classe C5, dans des zones peuplées ou non.
  • STS-02 : Vols hors vue avec un drone de classe C6, dans des zones faiblement peuplées.

Ces scénarios offrent une harmonisation des règles dans l’Union européenne, facilitant les opérations transfrontalières.

Autorisations spécifiques et restrictions

1. Autorisations d’exploitation

Pour des opérations ne correspondant pas aux scénarios standard, une autorisation spécifique est nécessaire. Cela inclut les cas où :

  • La hauteur dépasse 120 mètres.
  • Les zones survolées incluent des espaces sensibles.
  • Les drones utilisés ne répondent pas aux normes des scénarios standard.

La méthode SORA (Specific Operations Risk Assessment) est utilisée pour évaluer les risques et déterminer les mesures de sécurité requises.

2. Restrictions géographiques : le plus important à regarder puisqu’il est changeant, même dans des zones identiques.

Certains espaces, comme les zones militaires ou les aérodromes, sont soumis à des restrictions strictes. Les vols dans ces zones nécessitent des autorisations spécifiques et des mesures de sécurité renforcées.

3. Vols de nuit : toujours soumis à des conditions précises.

Les opérations nocturnes sont possibles sous certaines conditions, notamment en justifiant leur nécessité et en garantissant des mesures de sécurité adaptées, comme des dispositifs lumineux sur le drone.

Respect de la vie privée et responsabilités légales

1. Protection des données

Tout drone équipé de caméras ou de capteurs doit respecter les réglementations sur la vie privée. Les exploitants doivent informer les personnes concernées et obtenir leur consentement pour toute captation d’images ou de données.

2. Assurance et responsabilité

Les exploitants sont responsables des dommages causés à des tiers. Une assurance couvrant ces risques est obligatoire, offrant une protection financière en cas d’incident.

Préparation et réalisation des vols

1. Préparation du vol : dans la logique des précisions exigées en formation.

Chaque vol doit être minutieusement préparé, incluant :

  • La vérification des conditions météorologiques.
  • Le contrôle de l’état du drone, y compris les batteries.
  • La planification du trajet, en tenant compte des zones réglementées.

2. Réalisation du vol

Durant le vol, le télépilote doit maintenir un contrôle visuel ou électronique sur le drone. En cas de problème, des procédures d’urgence doivent être appliquées immédiatement pour garantir la sécurité.

Exploiter un drone en catégorie spécifique nécessite une connaissance approfondie des réglementations et des bonnes pratiques. Ce guide offre une base solide pour vous préparer à opérer en toute conformité. N’oubliez pas de consulter régulièrement la plateforme AlphaTango et les mises à jour de la DGAC pour rester informé des évolutions réglementaires.

Pour aller plus loin, explorez les ressources complémentaires et guides spécifiques disponibles sur le site de la DGAC, nous vous le laissons ici pour le télécharger, il s’agit de la dernière version du mois de décembre 2024. 

Exploration des différents capteurs (caméras, LiDAR, infrarouge) et de leurs applications métiers grâce aux drones

Par Blog, Formation photogrammétrie, Formation thermographie, Matériel Drone

Les capteurs dans les drones ont révolutionné de nombreuses industries. Ils fournissent des données précises et ouvrent la voie à de nouvelles applications. Comprendre les différents types de capteurs et leurs utilisations est essentiel pour optimiser les missions. Cet article explore les principaux capteurs utilisés dans les drones : caméras, systèmes LiDAR et capteurs infrarouges, ainsi que leurs applications spécifiques.

Caméras utilisées pour la photogrammétrie par Drone.

Différentes caméras pour différentes applications de la photogrammétrie

  • Caméras RGB (Rouge, Vert, Bleu) : Utilisées pour la capture d’images et de vidéos standards.
  • Caméras multispectrales : Capturent des images dans plusieurs bandes spectrales, utiles en agriculture de précision.
  • Caméras hyperspectrales : Capturent des données dans des centaines de bandes spectrales pour des analyses détaillées des matériaux.

La photogrammétrie par Drone : au delà de l’image, la post-production apporte de nombreuses applications.

  • Photogrammétrie : Créer des cartes 2D ou des modèles 3D de surfaces terrestres.
  • Inspection des infrastructures : Identifier les défauts et les dégâts sur les ponts, les bâtiments et les lignes électriques. L’inspection des ouvrages d’art est particulièrement efficace et rapide grâce aux drones.
  • Surveillance environnementale : Suivre les changements dans les écosystèmes, détecter la pollution et gérer les ressources naturelles.
  • Agriculture de précision : Évaluer la santé des cultures, détecter les maladies et optimiser l’utilisation des ressources.

LiDAR (Light Detection and Ranging)

Le LiDAR utilise des lasers pour mesurer les distances. Il envoie des impulsions lumineuses et enregistre le temps qu’elles mettent à revenir après avoir frappé un objet. Cette technologie crée des modèles 3D très précis de l’environnement.

Le lidar : des applications déjà bien identifiées

  • Cartographie topographique : Créer des modèles 3D détaillés du terrain pour les études géologiques, l’urbanisme et la construction.
  • Gestion forestière : Analyser la structure des forêts, estimer la biomasse et surveiller la santé des arbres.
  • Archéologie : Détecter des structures enfouies et des sites archéologiques cachés sous la végétation.
  • Sécurité et surveillance : Surveiller les périmètres, modéliser les scènes de crime et analyser les trajectoires de collision.

Les capteurs infrarouges : principalement dédiés à la recherche de différentiel de température.

Les capteurs infrarouges détectent la chaleur émise par les objets. Ils permettent de visualiser les variations de température. Ces capteurs sont utiles dans des conditions de faible luminosité ou pour détecter des anomalies thermiques.

Les applications des drones thermiques : plus nombreuses en fonction des capteurs utilisés.

Les applications drone sont nombreuses. Etant là pour optimiser le travail quotidien de nombreux métiers, chaque nouveau capteur permet de nombreuses nouvelles applications. Voici les applications les plus connus que vous pourrez traiter en devenant pilote de drone si vous avez ces capteurs.

  • Surveillance thermique des bâtiments : Détecter les pertes de chaleur, identifier les défauts d’isolation et les infiltrations d’humidité.
  • Recherche et sauvetage : Localiser les personnes disparues ou en détresse, même dans des conditions de faible visibilité.
  • Agriculture de précision : Surveiller l’irrigation et identifier les zones de stress hydrique dans les cultures.
  • Inspection industrielle : Détecter la surchauffe dans les installations électriques et mécaniques, prévenir les incendies et les pannes.

Les capteurs dans les drones offrent des capacités de collecte de données sans précédent. Ils ouvrent la voie à des applications innovantes dans divers secteurs. En tant que pilote de drone, comprendre les technologies de capteurs – caméras, LiDAR et infrarouge – et leurs applications spécifiques vous permet de réaliser des missions plus efficaces. Vous pouvez fournir des analyses et des solutions précieuses à vos clients et partenaires. Investir du temps dans l’apprentissage et l’intégration de ces technologies dans vos opérations vous positionne en tant qu’expert dans un domaine en constante évolution.

Lancement de la saison des formations à la thermographie par Drone.

Par Actualité, Blog, Formation drone, Formation thermographie

La technologie progresse à un rythme effréné, et l’industrie de la construction et de la rénovation n’est pas en reste. Parmi les innovations les plus récentes, la thermographie du bâtiment par drone se démarque comme une avancée révolutionnaire. Cette technologie offre une nouvelle dimension à l’inspection des bâtiments, en permettant une analyse approfondie de la performance énergétique et de l’efficacité de l’isolation. En cette période passionnante, nous sommes ravis d’annoncer le lancement de la saison des formations à la thermographie du bâtiment par drone.

Rappel de ce que permet la thermographie du bâtiment.

La thermographie du bâtiment, ou thermographie infrarouge, est une technique avancée qui permet de visualiser et de mesurer les variations de température à la surface des bâtiments. Cette technologie est précieuse pour identifier une variété de problèmes, tels que les fuites de chaleur, les ponts thermiques, les infiltrations d’air, les problèmes d’isolation, et bien plus encore. Ces informations sont cruciales pour améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments, réduire les coûts de chauffage et de climatisation, et contribuer à la réduction de l’empreinte carbone.

L’avantage des drones

Traditionnellement, la thermographie du bâtiment nécessitait des inspections visuelles à partir du sol ou l’utilisation d’équipements coûteux, tels que des nacelles élévatrices. Cependant, avec l’essor des drones, cette technologie a atteint de nouveaux sommets. Les drones équipés de caméras thermiques peuvent survoler les bâtiments à différentes altitudes, capturant des images thermiques haute résolution de la surface de la structure. Cette approche offre plusieurs avantages significatifs :

Efficacité et optimisation du temps de captation de la donnée thermique.

Les drones permettent de couvrir de vastes zones en un laps de temps considérablement réduit par rapport aux méthodes traditionnelles. Cela signifie des inspections plus rapides et une analyse plus approfondie des bâtiments.

Précision des caméras thermiques, jusque 640px.

Les images thermiques capturées par les drones fournissent des données extrêmement précises, permettant une analyse approfondie et une détection plus précise des problèmes. Evidement, si on compare avec la résolution des matériaux qu’on utilise pour l’inspection par Drone, c’est faible. Mais pour des caméras thermiques, ce sont des hautes résolutions. Résolutions nécessaires, en raison de l’altitude et donc de l’éloignement qu’a le drone avec ses ouvrages.

Accessibilité : les couvertures sont intégralement analysées.

Les drones peuvent atteindre des zones difficiles d’accès, telles que les toits, les façades élevées et les espaces confinés, ce qui était auparavant impossible ou dangereux pour les inspecteurs. C’est pourquoi ces inspecteurs se forme à la manipulation des drones. Précisément pour compléter leur métier et le réaliser dans de meilleurs conditions.

Nos formations à la thermographie du bâtiment par drone

Nous sommes heureux de proposer une série de formations complètes à la thermographie du bâtiment par drone pour répondre à la demande croissante de professionnels de l’inspection, de la construction et de la rénovation. Nos formations sont conçues pour vous initier aux principes fondamentaux de la thermographie du bâtiment et à l’utilisation avancée des drones pour effectuer des inspections thermiques.

Nos programmes de formation couvrent une gamme complète de sujets :

Théorie de la thermographie du bâtiment

  • Les principes fondamentaux de la thermographie infrarouge.
  • Les diverses applications de la thermographie du bâtiment.
  • Interprétation des images thermiques pour identifier les problèmes potentiels.

Utilisation des drones pour la thermographie du bâtiment

  • Sélection et configuration appropriée des drones et des caméras thermiques pour des missions spécifiques.
  • Techniques de vol en toute sécurité pour garantir une capture de données optimale.
  • Acquisition d’images thermiques de haute qualité.

Analyse des données et rapports

  • Traitement des images thermiques pour une meilleure visibilité et une analyse détaillée.
  • Identification des problèmes courants du bâtiment, y compris les fuites de chaleur, les ponts thermiques, les infiltrations d’air, etc.
  • Rédaction de rapports complets et professionnels pour les clients.

Certification : en collaboration avec des entreprises agréées

À la fin de notre formation, les participants auront l’opportunité de passer un examen de certification qui atteste de leurs compétences en thermographie du bâtiment par drone.

Qui devrait suivre ces formations ?

Nos formations à la thermographie du bâtiment par drone sont adaptées à une variété de professionnels, notamment :

  • Inspecteurs en bâtiment : Pour améliorer leurs compétences et offrir des services d’inspection plus avancés à leurs clients.
  • Entrepreneurs en construction et rénovation : Pour mieux comprendre les aspects thermiques des bâtiments et optimiser leurs projets.
  • Experts en éfficacité énergétique : Pour aider leurs clients à économiser de l’énergie et de l’argent.
  • Ingénieurs du bâtiment : Pour intégrer la thermographie du bâtiment par drone dans leurs analyses.
  • Gestionnaires de biens immobiliers : Pour maintenir la performance énergétique de leurs propriétés.

L’adaptation des caméras thermiques sur les drones permet donc beaucoup. Elle permet de combiner les avantages de la thermographie infrarouge avec la mobilité et la polyvalence des drones. Ce qui ouvre ainsi de nouvelles perspectives pour l’industrie de la construction et de la rénovation.

Si vous êtes prêt à acquérir des compétences essentielles pour l’avenir de l’inspection du bâtiment, ne manquez pas l’opportunité de vous inscrire à nos formations dédiées à la thermographie.

La saison des formations est sur le point de commencer, alors réservez votre place dès aujourd’hui. Pour plus d’informations, contactez-nous à contact(@)dronelis.com ou au 02 28 07 81 81

L’histoire sur l’intégration progressive du drone civil dans notre quotidien

Par Blog, DJI

L’histoire des entreprises de Drone Civil dans l’industrie du Drone

Le développement technologique rapide du 21e siècle a introduit le monde aux drones civils, une invention révolutionnaire qui a transformé divers secteurs. Avec une application croissante dans la photographie aérienne, l’agriculture, l’inspection des infrastructures et la livraison de colis, les drones ont attiré l’attention de plusieurs entreprises. Cet article trace l’histoire du drone civil, en mettant l’accent sur le rôle que les entreprises ont joué dans leur développement et leur utilisation.

L’origine des drones : militaires puis civils

Les drones, officiellement connus sous le nom de véhicules aériens sans pilote (UAV), sont issus du domaine militaire. Utilisés pour la première fois pendant la Première Guerre mondiale pour le pilotage à distance d’avions cibles, ils ont été développés de façon significative pendant la guerre froide pour des missions de reconnaissance et de surveillance.

La transition du drone de l’usage militaire à l’usage civil a commencé à la fin des années 2000, avec la démocratisation de la technologie et la réduction des coûts. La FAA (Federal Aviation Administration) a joué un rôle crucial en autorisant l’utilisation commerciale des drones aux États-Unis en 2006, ce qui a stimulé leur adoption dans diverses industries. La France a également joué un rôle stratégique

Les entreprises pionnières. Les fabricants restent chinois et les Français résistent mal.

Parmi les premières entreprises à se lancer dans l’industrie des drones civils, DJI (Da-Jiang Innovations) basée en Chine, a pris les devants en 2006. Connue pour ses drones fiables, accessibles et de haute qualité, DJI a dominé le marché dès le début et continue de le faire aujourd’hui. Parrot SA, une entreprise française fondée en 1994, est entrée dans l’indus

S900 drone dji

Le S900 de DJI, le tout premier drone capable de produire un vrai travail professionnel en toute fiabilité

trie des drones en 2010 avec le lancement du drone AR.Drone. Elle est ensuite devenue l’une des principales marques de drones civils en Europe jusqu’en 2020 qui marque un tournant chez DJI. La marque chinoise fournit de plus en plus les professionnels du Drone et prend la main mise sur tout le secteur : audiovisuel, btp, que ce soit pour l’inspection, de la photogrammétrie, de la thermographie. Reste encore quelques niches non explorées comme la pulvérisation, mais ce sera vite fait en 2022.

Ce qui fait la réussite, dès le début, de DJI, c’est qu’il ne s’agit pas d’un héritage militaire. Les drones DJI sont à la base des Drones issus du modélisme. C’est la vrai réussite du drone, avoir adapté à un usage civil, des quadricopter à la base créés par des passionnés d’aéromodélisme.

L’expansion de l’industrie : un démarrage rapide pour les applications mais plus doux pour le déploiement commercial

Au fur et à mesure que l’industrie mûrissait, de nouvelles entreprises ont émergé, offrant une gamme de drones adaptés à diverses applications. 3D Robotics, une entreprise américaine fondée en 2009, a introduit des drones conçus spécifiquement pour l’imagerie aérienne et la cartographie. SenseFly, une entreprise suisse, s’est spécialisée dans les drones pour l’agriculture et la cartographie.

En outre, des géants de la technologie tels qu’Amazon et Google ont lancé leurs propres initiatives de drone. En 2013, Amazon a annoncé Amazon Prime Air, un service de livraison de colis par drone. Google a également lancé Project Wing sous Alphabet Inc., sa société mère, pour développer des drones de livraison. Sur ces derniers sujets, on ne voit pas grand chose. On peut simplement dire que ces grands groupes sont dans les starting block, prêts à dégainer le jour ou la règlementation drone le permettra.

Les défis et la régulation, certains européens bloquent, d’autre libère, et la France structure.

Alors que l’industrie du drone civil se développait, elle a également rencontré des défis. En particulier en matière de réglementation et de confidentialité. La DGAC en France a dû mettre en place des réglementations pour assurer la sécurité du ciel. Les entreprises ont alors dû respecter des réglementations strictes pour préserver la vie privée et minimiser les nuisances. La navigation dans ce paysage réglementaire complexe est devenue un aspect essentiel du développement de l’entreprise de drone. C’est d’ailleurs le point noir pour beaucoup de développement. C’est le cas de la société Dronelis, qui souhaitent activement se développer sur le démoussage massif de toitures par Drone. Même si en parallèle, l’avenir sera aussi sur le nettoyage de façade, avec l’alliance de méthodes traditionnelles et de drones.

L’adaptation et l’innovation

Face à ces défis, les entreprises de drones ont dû s’adapter et innover. Par exemple, DJI a lancé le système Aeroscope pour aider les autorités à suivre et identifier les drones en vol. Ils contribuent ainsi à augmenter la sécurité aérienne. Parrot, quant à elle, a intégré des technologies de cryptage pour assurer la confidentialité des données de vol.

La révolution de l’IA et l’intégration des drones

La révolution de l’intelligence artificielle (IA) au cours de la dernière décennie a eu un impact majeur sur l’industrie des drones. L’intégration de l’IA a permis le développement de drones autonomes. Skydio, une entreprise basée aux États-Unis, a été un pionnier dans le domaine des drones autonomes.

Le Skydio R1, en 2018 fut le premier à pouvoir éviter les obstacles. DJI le suivra de très près comme toutes les autres marques de drone. En revanche, si l’IA intervient sur l’utilisation « mécanique » du drone, il faut aussi voir que l’avenir est dans le traitement. L’IA et le machine learning est en train d’apporter des solutions pertinentes, au service des pilotes de drone. Ainsi, lors de formations pour devenir pilote de drone professionnels à destination des entreprises, le sujet est très clairement au centre des discussions.

La poursuite de l’innovation et les tendances futures

L’avenir de l’industrie du drone civil semble prometteur, avec de nouvelles innovations et applications émergentes. De plus en plus d’entreprises sont attirées par ce secteur en croissance. Elles cherchent à développer des solutions qui vont de la livraison de médicaments en zone rurale à la surveillance environnementale et à la recherche de personnes disparues.

L’industrie du drone civil a parcouru un long chemin depuis ses débuts modestes. Grâce à l’innovation continue, les entreprises de drone ont non seulement transformé diverses industries mais ont également ouvert la voie à des avancées technologiques encore inexistantes. Alors que l’avenir reste incertain, une chose est sûre : l’industrie du drone civil continuera à évoluer et à surprendre, repoussant les limites de ce qui est possible.

L’évolution des règlementations

Avec l’essor de l’industrie des drones, les réglementations ont également dû évoluer pour répondre à l’évolution rapide de la technologie. Des pays comme la France, les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie ont mis en place des réglementations spécifiques. L’objectif était de contrôler l’utilisation des drones. Des organisations telles que l’Agence de l’Union Européenne pour la Sécurité Aérienne (EASA) ont également travaillé à harmoniser les réglementations à travers l’Europe. Un coup d’épée dans l’eau au début, mais qui a l’avantage de jeter les bases de la nouvelle réglementation.

La réglementation a permis à l’industrie des drones de se développer de manière sûre et sécurisée. Cependant, elle a également présenté des défis pour les entreprises. Certaines ont dû naviguer dans une mer de réglementations différentes pour rester en conformité.

L’implication des géants du secteur, en préparation de l’avenir.

Les géants de la technologie, comme Amazon et Google, ont également joué un rôle clé dans l’évolution de l’industrie des drones. Amazon a été l’un des premiers à proposer l’idée de la livraison par drone avec Amazon Prime Air. Google, à travers sa filiale Wing, a également investi dans le développement de drones de livraison. Ces entreprises ont non seulement ajouté une légitimité à l’industrie, mais ont également poussé à l’innovation, en développant des technologies qui pourraient un jour transformer la livraison de colis.

Le futur de l’industrie des drones : l’autonomie d’abord

Le futur de l’industrie des drones semble brillant, avec un potentiel d’expansion dans un très grand nombre de métiers. Des entreprises comme Zipline sont déjà en train de transformer le secteur de la santé. En utilisant des drones pour livrer des médicaments et des vaccins par exemple. D’autres entreprises voient le potentiel des drones pour améliorer les opérations agricoles. Ou encore les inspections d’infrastructures, la surveillance de l’environnement, et bien plus encore.

Les entreprises de drones sont également en train de pousser les limites de ce qui est technologiquement possible. Des drones autonomes sont d’ailleurs en train d’être développés, ouvrant la voie à des applications encore plus diversifiées.

En conclusion, l’histoire des entreprises de drones civils dans l’industrie des drones est une histoire d’innovation et d’adaptation. De leurs débuts modestes à leur statut sociétés innovantes, ces entreprises ont révolutionné de nombreux secteurs. Et à l’avenir, ils ont le potentiel de transformer encore plus notre façon de vivre et de travailler à l’avenir. Alors que l’industrie continue d’évoluer, nous pouvons nous attendre à de nouvelles avancées passionnantes dans les années à venir.

Bientôt la fin des Phantom 4

Par Actualité du Drone, Blog

Lors de nos formations, une grande partie consiste à vous faire piloter un drone. Ce pilotage se fait sur différents supports, différents modèles de drone.

Le Phantom 4 : modèle idéal pour apprendre à piloter un drone.

Le plus utilisé, surtout au début de la formation est la phantom 4. Il présente de nombreux avantages pédagogiques.

Source : Prodrones Shop

  • On peut en effet installer un système de double commande qui permet à l’instructeur de contrôler la double commande.
  • Il a l’option « ATI », qui permet d’enlever la stabilisation par GPS : ce mode de pilotage permet d’apprendre à piloter sans assistant GPS ce qui est très important pour apprendre au mieux à piloter un drone.
  • Il est robuste, d’une certaine taille sans être un gros drone, qui peut faire peur pour les premières heures de vol quand on débute.

Un système de double commande pour accompagner le stagiaire au début de son stage.

La formation pour devenir pilote de drone est encadré par la DGAC. Le programme doit respecter un nombre important et précis de point.

Le temps de vol pour chaque stagiaire durant la formation est très précis. Il faut au minimum 5 jours de formation pratique. Si certains savent piloter, le phantom 4 permet aux néophytes de travailler avec l’instructeur en double commandes.

La double commande se fait avec des commandes d’inspire 1. A l’époque le matériel était compatible, ce qui n’est malheureusement plus le cas avec l’inspire 2 ou les matrice 200 que nous faisons également évoluer en formation.

Ce système de double commande fonctionne sur le même principe qu’une voiture d’auto-école. Le stagiaire pilote a les pleines commandes, mais l’instructeur peut corriger avec la deuxième radio-commande en cas de problème.

La phantom 4 étant vieillissant, les débuts de formation se feront avec des mavic 2 pro, qui profitent des mêmes avantages. Le mode « école » est possible, les premiers jours de formation pourront donc se faire dans les mêmes conditions qu’avec le phantom 4.

Ensuite, le reste de la formation se fait avec plus d’autonomie. L’instructeur intervient en parallèle, mais laisse l’autonomie au stagiaire. Cette partie de la formation pratique se fait sur différents modèles de drone : le phantom 4, le phantom 4 pro, l’inspire.

A noter que la formation photogrammétrie se déroule dans les mêmes conditions, mais avec le mavic 2 pro et le phantom 4 pro RTK. Ce deuxième drone présente l’avantage de produire une donnée plus précise pour la captation. Ce qui est nécessaire pour la production d’une orthophotographie précise, très utilisée par les géomètres experts ou pour les entreprises qui souhaitent réaliser une inspection par drone par la photogrammétrie.

L’option « ATI » : un mode de vol nécessaire pour répondre aux conditions difficiles de vol.

Lors de la formation, une grande partie de notre travail consiste à expliquer aux stagiaires, le pilotage de drone en cas de problème. Aujourd’hui, avec les drones DJI, il n’y a rien de compliqué pour faire évoluer un drone.

En revanche, en cas de coupure GPS ou de problème, le drone évolue sans stabilité. Cet aspect est essentiel pour être capable de piloter un drone. Savoir réagir sans stabilisation s’apprend. Il y a des réflexes à acquérir pour la mise en sécurité du drone en cas de problème. C’est tout l’enjeux de la formation pratique. Vous pouvez avoir passer votre brevet théorique drone, ce n’est pas ce qui vous apprend les principes de la sécurité. Coupure moteur, perte de GPS, RTH (return to home) sont autant de surprise qu’il faut apprendre à gérer.

Avec DJI Go et la qualité des drones de la même marque, ces situations sont de moins en moins nombreuses. Mais lors d’une inspection technique, les coupures peuvent toujours arriver. Un drone qui inspecte un ouvrage d’art se retrouve forcément confronté à un problème de retour vidéo ou de GPS.

Par conséquent, lors d’une formation pour apprendre à piloter un drone, il faut avant tout apprendre à anticiper les problèmes. Le mode « ATI » du Phantom 4, permet de couper la réception GPS pour le laisser évoluer sans ses repères. Il est plus glissant, plus difficile à maintenir en position fixe et chaque coup de vent se ressent plus fortement.

Si vous êtes un bon pilote, tentez ce mode que vous aurez sur les drones plus anciens, vous comprendrez combien il est important de s’entraîner à piloter en conditions difficiles!

Un drone de bonne taille pour apprendre à piloter dans les conditions réelles.

Apprendre à piloter un Matrice 300 RTK ou un mavic mini, c’est pas franchement pareil. Côté RC, c’est assez proche. Les mouvements sont les mêmes, les logiciels presque identiques et la stabilité est très proche. Pourtant, un nouveau pilote aura plus d’appréhension à piloter un Matrice 300 qu’un mavic de moins de 500 grammes.

Les drones de moins de 500 grammes sont de plus en plus qualitatifs. Mais lorsqu’on ne pilote que sur des mini-drones, on passe plus difficilement à la taille d’après.

C’est pourquoi le Phantom 4, est la taille idéale pour apprendre à piloter. Drone de moins de deux kilos, il a toute de même une taille suffisante pour être attentif. Plus le drone est gros et plus notre attention est marquée. C’est pourquoi il est nécessaire d’apprendre à piloter sur d’autres drones que les simples DJI Mavic.

Ainsi, avec la fin des Phantom 4, nous garderons quand même la même game pour les formations. Nous travaillerons avec les Mavic 2 pro pour les premières journées de formation (pour avoir la double commande). Mais nous basculerons sur les Phantom 4 pro pour la suite afin de profiter de ses qualités. Il manquera le mode ATI, mais nous profiterons d’un petit retour en arrière avec le pilotage de quelques heures sur des F450. C’est très sportif, mais très intéressant pour bien apprendre toutes les règles de sécurité liées au pilotage de Drone!

Quel choix pour un artisan entre le mavic Air de Dji et l’Anafi de Parrot

Par Blog, Matériel Drone

Les artisans, après leur formation, font très souvent le choix du Mavic Air ou de l’Anafi.

Alors, quel drone choisir entre le Mavic Air de Dji, ou l’Anafi du Français Parrot ?

Qu’est ce qui motive ce choix? Le prix principalement, ainsi que la taille de l’appareil. On parle toute de suite du Mavic Air ou de l’Anafi, mais il y a également le Mavic Pro 2 qui permet d’aller plus loin pour une taille et un poids franchement assez proche. Mais que c’est très petit, c’est aussi très pratique !

En effet, pas besoin d’un gros drone lorsqu’il s’agit d’intervenir sur de petits ensembles ou des maisons individuels.

Les professionnels qui s’orientent vers ses drones l’utilisent pour de l’inspection rapide ou pour de la photogrammétrie issue d’un vol automatique.

Voici donc les principales spécificités de ces deux drones, qui montrent qu’il est bien difficile de faire le choix entre les deux appareils

En revanche, s’il est facile de comparer des options ou spécificités techniques précises, il est difficile de noter la qualité même de l’appareil : design, tenue des cycles de batteries, comportement de l’appareil sur le long terme.

Sur ces derniers éléments, DJI témoigne d’un vrai savoir faire. Certains l’appellent même « l’Apple du drone ». Choix des matières, qualité des finitions, expérience client, sur ces sujets, Dji passe devant sans discussion.
Nous ferions donc le choix du Mavic Air, mais si vous n’êtes que sur l’inspection, la caméra top que propose l’Anafi représente une différenciation importante.

S’inscrire à l’examen du brevet théorique drone

Par Blog, Formation drone

Le brevet théorique drone se déroule dans les antennes de l’aviation civile.

Quelles sont les villes où il est possible de passer l’examen drone?

Aix-en-Provence / Beauvais / Bordeaux / Dijon / Lille / Lyon / Metz / Paris / Rennes / Strasbourg / Toulouse pour la France métropolitaine.

Saint-Denis de la Réunion / Fort-de-France / Pointe-à-Pitre / Cayenne / Nouema et Papeete pour les DOM-TOM.

L’examen se déroule sous forme de QCM de 60 questions – Durée de l’épreuve : 1h30 et pour le réussir, vous devez obtenir au moins 75% de bonnes réponses.

Mise à jour du 7 avril 2023:

La DGAC annonce qu’il y aura des délégations pour faire passer les examens théoriques. Il faudra donc certainement à partir de 2023 (T2) intégrer un centre de formation pour devenir pilote de drone.

Comment faire pour s’inscrire à l’examen drone :

La procédure est la suivante :

  • Inscription et paiement en ligne ​sur le portail OCEANE, complétés par l’envoi de pièces complémentaires par e-mail.
  • Redevance d’examen – Tarifs : Télépilote de drone (1 épreuve) = un paiement (30€) par présentation.
  • Redevance d’examen – Mode de paiement : Il est réalisé en même temps que l’inscription en ligne via le portail d’inscription OCEANE. Il valide l’inscription et permet d’accéder à une fiche récapitulative d’inscription / convocation via le compte OCÉANE du candidat et qui devra être présentée le jour de la session.

Comment créer un compte sur le portail Oceane.

https://oceane-candidat.aviation-civile.gouv.fr/login

Cliquer sur le bouton “Créer un compte

Choisissez la catégorie « Théorique privé »

Sélectionnez ensuite l’examen “Télépilote (télépilote de drone)” et validez.

Renseignez les informations demandées et enregistrez vos données

Un * signifie renseignement obligatoire.

Pour les femmes, nom d’usage = nom d’épouse.

Case Autres prénoms : préciser tous vos prénoms en référence à votre pièce d’identité (PI).

Attention ! Vérifiez l’exactitude de vos saisies avant d’Enregistrer car ces renseignements nominatifs figureront sur votre certificat d’aptitude théorique.

Vous recevrez sur votre messagerie électronique un message contenant votre identifiant et vous invitant à créer votre mot de passe (le lien est valable 24h) 

Vous pourrez alors vous identifier sur le portail Océane.

Inscription à l’examen drone à partir du portail.

Une fois identifié, allez dans la rubrique “Examen” et cliquer sur le bouton + en bas à droite

Une nouvelle fenêtre va s’ouvrir.  Sélectionnez “Théoriques privés” puis “Télépilote

Vous retrouverez l’examen créé dans la rubrique “Mes examens

Pour choisir votre centre de passage et la date à laquelle vous souhaitez vous présenter au brevet théorique drone, cliquez sur l’examen en question.

Une nouvelle fenêtre va s’ouvrir mentionnant qu’il n’y a aucune inscription pour cet examen. 

Cliquez sur le bouton + en bas à droite.

Une nouvelle fenêtre “Nouvelle inscription” s’ouvre avec la sélection « Écran » : Vous pouvez cliquer sur le bouton “Créer”.

Une première fenêtre d’information va s’ouvrir ; Vous pouvez valider en cliquant sur le bouton “OK

Une seconde fenêtre d’information s’ouvre ; Vous pouvez également valider.

A la prochaine étape, vous pouvez choisir votre centre et votre date d’examen

Site écran (liste déroulante) : Sélectionnez le centre de votre choix 

Date au plus tôt :  Votre inscription ne pourra pas être prise en compte dans un délai inférieur à 4 jours. Plus le délai est court et moins vous aurez de probabilité d’obtenir la date souhaitée, soyez vigilant à la date proposée par OCEANE avant de la valider. 

Pour obtenir une date effective, cliquez Rechercher (date + horaires). La date proposée ne sera pas forcément la Date au plus tôt initiale, tout dépend des dates d’ouverture et du taux de d’occupation de la salle. Cliquez VALIDER pour poursuivre ou Cliquez ANNULER si la date ne vous convient pas. 

Si vous souhaitez une autre date ou pour voir toutes les dates possibles, cliquez sur l’icône du calendrier à coté du champs “ Date au plus tôt”

Les informations“Rythme” ne vous concernent pas; Vous pouvez laisser par défaut ce qui est affiché.

Une fois le centre et la date choisie, vous pouvez valider.

Paiment de la redevance de l’examen

Vous disposez de 40 minutes pour effectuer l’opération. Si vous dépassez ce temps, votre inscription sera interrompue et vous devrez la renouveler.

CONVOCATION FICHE RÉCAPITULATIVE D’INSCRIPTION : GENERATION ET IMPRESSION 

Vous retrouverez votre convocation dans la section Examen. Celle-ci reprend les détails de votre inscription  : votre état civil et vos coordonnées date et horaires de présentation aux épreuves, lieu du centre d’examens (adresse, itinéraire ou plan).

Pensez à la télécharger et à la conserver dès sa mise à disposition.

FINALISER VOTRE INSCRIPTION OCÉANE PAR L’ENVOI D’UN DOSSIER COMPLÉMENTAIRE AU GESTIONNAIRE À ORLY 

Ces documents sont à envoyer sur la boîte fonctionnelle : dsac-examens-theoriques-sur-ordinateurs-pilotes-de-loisirs-orly-bf@aviation-civile.gouv.fr 

avec obligatoirement en objet du courrier : NOM Prénom – Demande d’inscription à l’examen de Télépilotes 

Eléments à envoyer : 

  •  Votre justificatif/convocation du portail Océane
  • La photocopie d’une pièce d’identité valide (avec photographie ressemblante) – Pièces d’identité acceptées : carte nationale d’identité ou passeport.
  • Pour les moins de 25 ans, le formulaire 59FormExa dûment renseigné

 

Pour tout contact via la boîte fonctionnelle, veuillez saisir l’objet du message très précisément et en saisissant toujours vos NOM (EN MAJUSCULE) et Prénom suivi de la raison pour laquelle vous écrivez. Autres exemples différents de l’envoi des pièces complémentaires : NOM – Prénom – Identité erronée / NOM – Prénom – Mon adresse courriel erronée / NOM – Prénom – Demande de report d’inscription