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thermographie drone

Lancement d’une nouvelle formation dédiée à la thermographie par Drone

Par Actualité, Formation drone

Dronelis Academy lance sa formation drone pour l’inspection par la thermographie.

En place au sein de Dronelis pour des campagnes de thermographie par Drone, l’expérience cumulée auprès de nos équipes et de nos partenaires thermicien nous assure le bon développement de cette formation à la thermographie par Drone.

Dans la suite d’une formation théorique et pratique, nous vous proposons deux sessions :

  • Une formation de deux jours, vous assurant de comprendre et de maîtriser les enjeux d’une thermographie aérienne.
  • Une formation de trois jours, permettant de mettre en pratique la formation autour d’une journée de diagnostique thermique, réaliser avec la matériel type utilisé dans la thermographie par Drone.

Aux choix, ces formations se font par groupe de 3 personnes maximum, les journées étant très denses.

Nous restons à votre écoute pour définir votre projet et pour mettre en place des dates de formation à Nantes, Lyon et Bordeaux (formation en thermographie, disponible à partir de Juin 2019 pour Montpellier et Toulouse)

Une évolution de la réglementation drone est attendue.

Par Actualité, Législation drone

Evolution de l’examen drone (Aéronef sans personne à bord), qui devrait changer au cours du 1er semestre 2017.

Ce nouveau métier est en pleine expansion, il est utilisé depuis quelques années pour l’imagerie. Mais il est désormais de plus en plus employé dans certains domaines comme la sécurité, la surveillance, la cartographie, la thermographie, dans le calcul de surface, etc….

Actuellement c’est relativement simple de travailler dans le domaine professionnel avec un drone. Mais d’ici quelques mois la réglementation drone change afin de professionnaliser le métier du drone. Une bonne chose pour toutes les sociétés structurées qui souhaitent se différencier.

Actuellement, la réglementation impose une compétence théorique civil ou militaire, avec un brevet théorique de pilote (ULM, Pilote PPL, etc….).  Pour obtenir l’examen rapidement, et dans de bonnes conditions, il est fortement conseillé de passer par un centre de formation théorique ULM.

Ce qui risque de changer pour le permis Drone en 2017 2018.

  • Création d’un examen théorique Télépilote de drone. Un examen cette fois ci totalement créé pour les pilotes de drone.
  • Modification des critères d’examen. A ce jour l’examen se déroule sur une durée d’une heure, avec 40 questions, et taux de réussite de 75%. Avec la nouvelle réglementation l’examen passera à 1h30, et de 60 questions. le taux de réussite reste à 75%.
  • La DGAC devrait publier un “Learning Objectives” pour les centres de formation afin de développer des supports de formation.
  • La DGAC va définir un socle de compétences pour la formation pratique pour chaque scénario. Ces compétences devront être validées par les centres de formation par la mise en place d’un livret de progression.

Pas de panique pour les télépilotes qui travaillent actuellement dans le domaine professionnel, et qui possèdent le Brevet Théorique. La DGAC attribuera une équivalence sur demande de l’exploitant. L’exploitant aura un an pour demander cette équivalence pour les scénarios S1, S2 et S3. Pour le scénario S4, le délai est de 6 mois.

Les futurs télépilotes de drone qui préparent l’examen théorique avion (ULM ou PPL), devront obtenir l’examen avant l’entrée en vigueur. Après cette date ils devront passer le nouvel examen de télépilote de drone. Il faut donc se dépêcher et travailler dès maintenant votre examen si vous souhaitez le réussir dans les délais.

La nouvelle législation s’adresse aux particuliers

Par Actualité, Actualité du Drone, Législation drone

Nouvelle réglementation en vue pour les drones en France.

La nouvelle approche de la France, bien en avance sur l’Europe n’a pas vraiment fait de surprise. Sans modifier la première mouture du Sénat, l’assemblée nationale précise les choses et avance vers une réglementation plus rigoureuses, permettant de mieux contrôler les propriétaires “particuliers” de Drones.

formation bebopNous sommes en 2016, préparons l’année prochaine, mais la députée PS en charge du dossier a déjà rassuré les constructeurs, cette loi devrait prendre effet fin 2018. De quoi venir voir les choses permettant de ne pas handicaper l’économie française très en avance sur le sujet.

On connaissait déjà la vidéo de présentation générale rédigée par la DGAC, mais la volonté du législateur est cette fois ci de contrôler l’utilisateur par son matériel, en s’assurant qu’il ne joue pas avec n’importe quel drone.

Le législateur exige désormais que le drone utilisé par un particulier devra être immatriculé et peser en dessous de 800 grammes. On sent que le législateur a signé un compromis, car tous les professionnels du drone, représentés par la Fédération Professionnelle du Drone Civil, et surtout par ceux qui encadrent l’activité, la DGAC, auraient nettement préféré un poids inférieur à 500 grammes.

De notre côté, nous suivons l’avis de la DGAC qui militait pour 250 grammes. En effet, avec un drone de 800 grammes, on peut largement faire des dégâts puisque ces drones sont équipés de systèmes GPS et d’une caméra pesant un certain poids. Légers, certes, mais ces systèmes, remplacés par un système “nocif” peuvent poser problème.

De même, mal utilisé, un drone de 800 grammes peut faire des dégâts, surtout quand on sait que peut de pilotes connaissent les règles du drone. C’est dans cette objectif d’ailleurs que nous avons souhaité mettre en place une formation drone pour les particuliers. Ce sont ces formations, au delà du pilotage, qui permettent de transmettre l’information, les textes de loi, mais aussi de rassurer les utilisateurs sur leur droits, et sur les zones au dessus desquelles ils peuvent voler.

Un immatriculation des drones obligatoire mais simplifiée.

Nous comprenons l’objectif de simplifier l’immatriculation des drones, face aux problèmes que connaissent les professionnels du milieu pour la déclaration de vols. Mais cette simplification ne doit pas permettre à n’importe qui de s’enregistrer. De même, nous espérons que l’immatriculation des drones permettra de réaliser un véritable suivi du matériel en cas de problème, de perte ou d’accident.
En effet, le problème des lois sur les drones, c’est qu’elles ne sont que très rarement appliquées, tant il est difficile d’attraper un drone ou son pilote.

Des dispositifs de sécurité supplémentaires et complémentaires.

Ces dispositifs supplémentaires sont un peu farfelus en réalité. Créer des bruits sur les hélices en cas de chute, interdiction à certaines zones par le GPS… rien de neuf, mais toujours des idées que l’on sent assez lointaine du réel du monde du drone.

Bref, le législateur prend le temps pour l’application du texte parce que les dispositifs imaginés n’existent pas encore tous!

Ce qu’on salue en revanche, c’est la mise en place d’une loi plus ferme pour les particuliers, et plus contraignantes. C’est un mal nécessaire pour que le milieu se structure dans de bonnes conditions et que la marché français deviennent le plus important en europe.